Prise en charge

 

Les prises en charge de l’infertilité peuvent être variées :

  • PMA
  • Dons d’ovocytes et de sperme
  • Adoption
  • Mères porteuses

Comment choisir la bonne technique ?

Les experts décident du type de technique le plus approprié pour chaque patient en fonction de plusieurs facteurs tels que le degré d’infertilité ou l’âge.

Il est également important d’évaluer la somme des potentiels de reproduction des deux membres du couple : l’homme et la femme.

En outre, plusieurs techniques combinées peuvent être nécessaires dans un traitement de stérilité. Par exemple, la fécondation in vitro avec diagnostic génétique préimplantatoire et/ou vitrification d’embryons.

Quelle clinique choisir ?

Il existe des petites cliniques, des grandes cliniques, des cliniques plus anciennes, des cliniques plus récentes, des cliniques hospitalières, des cabinets privés, etc. Avec un tel choix et une telle diversité, il est normal que les patients se trouvent désemparés lorsqu’il s’agit de choisir le centre de procréation assistée auquel ils doivent s’adresser.

  • Qualité 

Tout d’abord, avant de choisir une clinique de fertilité, il est important de s’assurer qu’il s’agit d’un centre officiellement agréé.

En outre, presque toutes les cliniques de fertilité affichent généralement sur leur site web toutes les reconnaissances officielles obtenues. D’autre part, la clinique doit être adaptée pour se conformer aux lois sur la protection des données, mais en garantissant la traçabilité des échantillons

  • Les locaux 

Pour réaliser un traitement de reproduction assistée, il est essentiel que le centre dispose des installations appropriées.

Il est essentiel qu’une clinique de procréation assistée dispose de son propre laboratoire et de son propre bloc opératoire. 

La clinique doit posséder les équipements et les commodités dont la clinique dispose dans chacun de ses domaines: réception, salle d’attente, salle de consultation, salle de réveil… et surtout une banque d’ovule et de sperme.

  • Transparence 

La clinique doit avoir une bonne politique de transparence.

Il est de la plus haute importance que les spécialistes expliquent clairement quel est le problème d’infertilité dont souffrent les patients, ainsi que tout ce qui concerne le traitement de procréation assistée qu’ils sont sur le point de commencer et pourquoi il s’agit du bon traitement dans leur cas.

La clinique doit être claire sur le budget du traitement. Elle doit proposer un devis avant d’entamer l’ensemble du processus de traitement reproductif. Cependant, il est très important de s’assurer de ce qui est et n’est pas inclus dans ce budget initial. Certaines cliniques peuvent sembler moins chères que d’autres, mais le patient doit savoir clairement ce qui est inclus dans chaque devis.

En outre, le prix des médicaments supplémentaires n’est généralement pas inclus dans le budget. C’est pourquoi il faudra tenir compte d’un supplément de 400 à 1 000 euros de médicaments hormonaux

  • L’équipe de professionnels 

Un traitement de fertilité se compose de plusieurs étapes qui requièrent différents spécialistes: gynécologues, embryologistes, anesthésistes, etc. Tous ces professionnels doivent être qualifiés et expérimentés.

En outre, tous les traitements de fertilité doivent être réalisés de manière totalement personnalisée, car ils dépendent de la cause de l’infertilité, de l’âge, des analyses hormonales, des antécédents médicaux, etc. C’est pourquoi il est fréquent que les patients apprécient le fait que le même médecin connaisse parfaitement leur situation particulière et les reçoive lors de toutes leurs visites à la clinique.

  • Taux de réussite 

Il est très important de savoir à tout moment ce que la clinique de fertilité entend par « taux de réussite ». Sous ce concept, ils peuvent parler de taux de fécondation, de taux de transfert, de taux d’implantation, de taux de gestation, de taux d’accouchement ou de taux de naissance vivante.

Cependant, il est évident que deux taux de réussite ne peuvent être comparés lorsque l’un se réfère, par exemple, au taux d’implantation et l’autre au taux de naissance vivante